Au Bonheur des Ogres

AU BONHEUR DES OGRES

C’est l’histoire d‘un Michel Gondry très sympathique.

Au premier abord, le titre de ce film me rappelle Au Bonheur des Dames, un romain super chiant d’Emile Zola que j’ai étudié à mon grand regret en seconde. Moi qui ait horreur des livres, j’ai été servit de 500 pages de descriptions d’un grand magasin parisien. Et je pense que ce titre n’a rien d’anodin pour ce film, car bien évidemment toute l’action se passe dans un grand magasin parisien, genre Galeries Lafayette.

Benjamin Malaussène, l’aîné d’une tribu de multiples enfants, travaille au Bonheur Parisien en tant que responsable technique. Ce terme ne sert pas vraiment à grand chose sauf pour dire qu’il fait office de bouc émissaire lorsqu’il y a mécontentement du client. Soit. Mais c’est à partir du moment où des crimes sont perpétués dans l’enceinte du magasin, qu’il décide de mener l’enquête afin qu’il soit innocenté.

Quand on regarde le film, on est agréablement surpris par les couleurs, les images et l’esprit de Noël qui s’y dégagent. Et niveau extravagance, on frôle le Michel Gondry, peut être en moins taré. Et la fraîcheur de Raphaël Personnaz et Bérénice Bejo y sont aussi sûrement pour quelque chose.
Foncez voir ce conte de Noël avant l’heure, mêlé d’un soupçon d’enquête, et d’un brun de fantaisie !

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