
La semaine dernière, le 21 avril pour être plus précis. Nous avons décidé avec une amie d’aller assister à l‘enregistrement du Grand Journal, émission que nous aimons beaucoup chacun. Bon, ce n’était pas ma première expérience télévisuelle dans le public, j’avais déjà participé deux fois à l’enregistrement de l’Édition Spéciale de Canal. Mais là c’est en grands fans de l’émission que nous y sommes allés.
Déjà première impression dans le couloir d’entrée rempli de courants d’air : mon dieu qu’il fait froid. Ensuite accueil plutôt glacial, on avait l’impression d’être comme du bétail à Disneyland. Pas de trucs à manger ni de trucs à boire. Au moins à l’Édition Spéciale, on avait droit à du quatre quart et du jus d’orange… Une fois sur le plateau, on s’est vraiment aperçus que tout y est vraiment tout petit, la caméra plongeante donne un effet de profondeur qui n’existe franchement pas. On était placés derrière Denisot côté gauche, deuxième rangée vers le milieu. C’était drôle le petit mouvement des plateaux pendant l’arrivée des invités.
Troisième effet Kiss Cool : étant donné qu’il y avait un match de football le soir, l’émission était amputée de sa deuxième partie (ma préférée bien entendue) et en plus elle serait enregistrée avant. Soit ! Les sujets étaient plutôt inintéressants pour moi, gay de base qui se contrefiche du football et de ses histoires de proxénétisme. En effet la deuxième partie du Grand Journal, la partie « people » était consacrée à l’affaire Ribéri. Franchement je m’en balance ! Même pas de Yann Barthès et son Petit Journal, pas de SAV… Mouais, la première partie était consacrée à l’éruption volcanique et ses conséquences sur le trafic aérien du week-end. Bref rien de bien palpitant pour cette première expérience Grand Journal.
En plus, les animateurs/chroniqueurs nous ont à peine calculé, ce qui est un peu dommage, cela ne coûte rien de dire « bonjour » et « au revoir merci ». Comme quoi, en fait nous les membres du public faisons juste partie du décor au même prix que le mur derrière ou les bouteilles d’eau d’Ariane Massenet planquées sous la table. Non mais sans déconner je mourrais de soif et elle sous le bureau elle avait une vingtaine de bouteilles d’eau. Pas une fois pendant le break on ne nous a demandé si tout allait bien…
Croyez-le ou non j’ai quand même envie d’y retourner… Maso moi !
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